Auditus Mysticus
Cum Persona Et Penna

Un site dédié à mes recherches ésotériques mais aussi très personnelles qui requièrent une certaine discrétion.
Chercher c'est bien, mais partager, c'est mieux !

Rosarium Philosophorum késaco ?

Rosarium Philosophorum, késaco ? Ou plutôt "késaqui". Voici une question intrigante qui mérite une exploration à travers une période spécifique de ma vie et mon attachement à l'ésotérisme, notamment au martinisme.

Il fut un temps où je me suis engagé dans un chemin ésotérique martiniste, un voyage qui n'est pas forcément pertinent à tous, mais qui a une signification profonde pour moi. En lien avec un certain Dieu Mercure, cette exploration requérait de choisir un Nomen, un mot qui peut être comparé à un totem chez les scouts. Plus simplement, il s'agissait d'un alias associé à une forme de guide symbolique pour mon développement personnel et ma relation au monde.

En tant qu'admirateur de la pensée de Carl Gustav Jung, mon choix de Nomem était évidemment Mercure, Mercurius, Rosarium Philosophorum. Ce choix restera définitif, car j'ai atteint le dernier grade en martinisme.

Mais qu'est-ce que ce terme représente vraiment pour moi ? C'est comme un de mes alias sur internet : Hermesophia, c'est-à-dire une fusion de Hermes, le dieu grec qui est mon guide, et de Sophia, la sagesse, qui est l'objet de ma quête. Je suis quelqu'un qui a toujours été attiré par l'ésotérisme, explorant des domaines que je ne mentionnerai pas forcément, mais que j'avoue parfois.

Mon désir d'anonymat est fort, bien que je sache que l'anonymat sur internet est plus mythique que réel. Cependant, ma passion pour l'écriture et le partage de mes pensées m'a conduit à créer un site de substitution pour héberger des contenus que je ne souhaite pas publier officiellement. Cette plateforme accueille divers sites qui reflètent mes recherches, certains plus ou moins obscurs, voire honteux, mais toujours le reflet de ma curiosité et de mon exploration. Actuellement, elle contient des informations sur la Colonne d'Harmonie, une promenade ésotérique dans la ville de Tournai, mes recherches pour retrouver un Dieu disparu dans un Martinisme qui a perdu sa dimension surnaturelle et peut-être plus à venir.

Ainsi, Rosarium Philosophorum est plus qu'un simple concept pour moi. C'est un nom, une quête, un guide et une part essentielle de qui je suis et de ce que je recherche. Une combinaison unique de divinité spinozienne et de sagesse qui m'accompagne dans mes aventures ésotériques et ma quête incessante de connaissance que je décris dans la section Martinisme Inconnu qui prend la forme d'un roman ou d'un journal intimement ésotérique.

Connaître c'est bien, mais partager, ou tenter de partager, parce que c'est difficile d'être compris et de se faire comprendre, c'est mieux. L'ésotérisme et les quêtes philosophiques peuvent souvent paraître obscures ou étranges aux yeux de beaucoup. Mon souhait de partager ces pensées et ces découvertes n'est pas sans risques; il y a toujours la possibilité que l'on se moque de moi ou que l'on ne comprenne pas pleinement ce que j'essaie d'exprimer.

C'est pourquoi je préfère avancer masqué, une allusion à la manière de Descartes, qui lui-même avait choisi l'anonymat pour certains de ses écrits. Dans l'ombre, je trouve la liberté de partager ma passion et mes recherches, sans craindre les jugements hâtifs. Le voyage continue, avec la sagesse comme guide et la curiosité comme compagne, dans l'espoir que ceux qui cherchent à comprendre trouvent également de la valeur et de l'inspiration dans mes mots.

En ce qui concerne le mélomane

Mes débuts dans ce domaine remontent probablement à mon adolescence, moment où en dehors de pratiquer l'activité de disc-jockey, je créais des diaporamas accompagnés de musique. À l'époque, j'ai consulté quelques livres pour comprendre comment réaliser cette tâche. Ceci dit, j'ai toujours aimé et été passionné par l'écoute de la musique. En revanche, du côté de la pratique des instruments, ce fut catastrophique. Mon gentil papa ayant absolument voulu que j'écrive de la main droite plutôt que de la main gauche, ce qui a, semble-t-il, créé quelques problèmes de coordination motrice m'interdisant toute pratique instrumentale.

J'ai effectué des études de psychologie et de pédagogie, mais au programme, il y avait un cours de technique audiovisuelle. Lors d'un travail demandé par l'enseignant, je me suis intéressé à créer un diaporama sur les relations entre la musique et l'image. Cela a fini par un mémoire centré sur l'étude de ce phénomène.

Entrant dans la carrière professionnelle, ce thème est resté de côté. Cependant, en fréquentant les milieux initiatiques et tout ce qui tournait autour des techniques de relaxation et méditation, ainsi qu'en suivant une formation en musicothérapie, je suis retombé dans la marmite de potion.

Pour le reste, je me suis retrouvé en martinisme à tenir la colonne d'harmonie, puis la foi m'ayant abandonné, j'ai renouvelé l'expérience une fois devenu franc-maçon à la Loge bleue et à la Loge rouge.

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